dimanche 31 janvier 2010

mois de Janvier 2010

MOIS DE JANVIER 2010




Nous entamons une nouvelle année et, après les vœux d’usage, nous en attendons et espérons leur réalisation. Nous devons avouer, au moins pour certains d’entre nous, qu’il est agréable que 2009 soit terminée car il commençait à y avoir une certaine saturation sur le plan de la santé et des ennuis divers !

Néanmoins, Nanou et moi avions été très heureux de revoir Constance et notre ancien bahut, profiter des quelques jours avec nos camarades de jeunesse et, pour les Anciens que nous étions, participer activement au centenaire du bâtiment qui abrita nos jeunes années après la guerre, de 1945 à 1950. Ce fut une réunion mémorable et je pense que tout le monde, notre ancien professeur, nos camarades et nous, le nouveau « staff » de cette école redevenue allemande, la municipalité de Constance, les autorités locales, conservera dans sa mémoire ces instants merveilleux qui n’arrivent, comme le nom l’indique, qu’une fois tous les cent ans !!!

Que pouvons-nous attendre de 2010 ? Peu de gens sont capables de lire dans le marc de café !!! Mais tout le monde est maintenant conscient que des changements importants sont à prévoir dans notre environnement et par conséquent dans notre manière de vivre, peut-être de survivre… Il n’est pas dans mon propos d’entamer un discours sur Kyoto ou Copenhague, mais je vous avouerai que j’ai été « enchanté » de lire ce mois-ci un livre que m’ont offert ma fille et mon gendre pour la nouvelle année. Je vous en indique le titre si toutefois le cœur vous dit de vous pencher plus sérieusement sur la question des prévisions relatives à notre planète dans les années qui viennent et par conséquent à la vie envisageable pour nos enfants et petits enfants. Les plus chanceux des personnes de mon âge (mais sera-ce une chance ?) pourront vérifier le bien fondé, à leurs dépends, de ces prévisions scientifiques !!!

Je constate que c’est la première fois, dans le chapitre conclusion de ce livre, que je vois un rapprochement d’importance entre l’ésotérisme et la science actuelle.

Le titre du livre : « 2030, LE KRACH ECOLOGIQUE » chez Grasset. L’auteur, la Cassandre de service, Geneviève Ferone, actuellement directrice du développement durable chez VEOLIA Environnement.

Par la même occasion vous pourrez aussi consulter le livre d’Edgard Morin : « L’AN I DE L’ÈRE ÉCOLOGIQUE » chez Taillandier, collection « Histoires d’Aujourd’hui ». (Excellents questionnements pour les insomniaques ! et puis, pourquoi mourir idiot ?)

Je voudrais simplement vous citer une phrase d’Einstein que j’ai trouvée dans ce dernier livre : « Notre époque se caractérise par la profusion des moyens et la confusion des intentions ». Cette pensée résume à elle seule notre incapacité à réagir à la tragédie qui guette l’humanité dans un proche avenir. « Nul n’est plus sourd que celui qui ne veut pas entendre »…dit-on en langage populaire. Malheureusement nous sommes tous sourds …et aveugles !

HAÏTI : Je ne vous parlerai pas du tremblement de terre qui a secoué ce petit pays, un des plus pauvres du monde, car les media ont suffisamment couvert la catastrophe. J’ai pris le temps ces jours-ci de réfléchir sur trois situations particulières, mises en parallèle, qui nous ont interpellés ces derniers temps : le tsunami, Haïti et l’inauguration de l’immeuble « Bordj Dubaï »… trois évènements caractérisés par leur démesure. Pour faire bon poids, j’en ajouterai deux autres très récents, économiques ceux-là : la faillite stupéfiante de Japan Air Line !!!! Et, dans le même temps, l’augmentation du niveau du PIB chinois (9%)….

Je ne vous donnerai pas mes conclusions mais cela mérite d’y consacrer quelques minutes de réflexion pour la suite de notre existence!

Citations : Je continue ce blog avec quelques citations de personnalités connues, citations que vous pourrez également apprécier comme je le fis.Quelques citations d’hommes célèbres qui mériteraient toute une dissertation




Georges Bernard Shaw : « Si les Anglais peuvent survivre à leur cuisine, ils peuvent survivre à tout ».

Pierre Dac : « Ce n’est pas parce qu’en hiver on dit : « fermez la porte, il fait froid dehors », qu’il fait moins froid dehors quand la porte est fermée ».

Henri Rochefort : « Si haut qu’on monte, on finit toujours par des cendres ».

Sacha Guitry : « Les hommes mariés n’ont que ce qu’ils méritent, les autres sont célibataires ».

André Gide : « Enseigne aux autres la bonté, tu peux avoir besoin de leurs services ».

Georges Clemenceau : « Les fonctionnaires sont comme les livres d’une bibliothèque : les plus hauts placés sont ceux qui servent le moins ».

Léo Campion : « Les fleuves et les femmes se livrent à des débordements : les premiers en sortant de leur lit, les secondes en y entrant ! ».

Hervé Lauwick : « Un ami c’est quelqu’un qui vous connaît et qui vous aime quand même ».

Mark Twain : « Le lit est l’endroit le plus dangereux du monde : 99% des gens y meurent ».

Raymond Devos : « Un ministre, ça ne se vend pas ! Ça s’achète parfois ! Mais ça ne se vend pas !

Jean Cocteau : « Le verbe aimer est difficile à conjuguer. Son passé n’est pas simple, son présent n’est qu’indicatif et son futur est toujours conditionnel ».

Pierre Dac : « Un concerné n’est pas forcément un imbécile en état de siège pas plus qu’un concubin n’est obligatoirement un abruti de nationalité cubaine ».

André Roussin : « Un intellectuel, c’est quelqu’un qui entre dans une bibliothèque même quand il ne pleut pas ».

Zénon d’Elée : « La nature nous a donné deux oreilles et une langue afin de pouvoir écouter davantage et parler moins ».

Marcel Pagnol : « Tout le monde savait que c’était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l’a fait ».

Charlotte Whitton : « Quoiqu’elle fasse, la femme doit le faire deux fois mieux que l’homme afin qu’on en pense autant de bien. Heureusement ce n’est pas difficile » !

Anonyme : « C’est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que tant de gens paraissent brillants avant d’avoir l’air con ».

Pierre Dac : « On dit d’un accusé qu’il est cuit quand son avocat n’est pas cru ».

Jérôme K Jérôme : « J’aime le travail, il me fascine. Je peux rester des heures à le regarder ».

Michel de Montaigne : « Si haut que l’on soit placé, on n’est jamais assis que sur son cul ».

Georges Courteline : « Pour avoir une conversation distinguée, se rappeler de n’ouvrir la bouche que quand on n’a rien à dire ».

Albert Einstein : « les Etats-Unis d’Amérique forment un pays qui est passé directement de la barbarie à la décadence sans jamais avoir connu la civilisation ».

Gustave Parking : « Le problème quand on a perdu ses lunettes, c’est qu’on est obligé de les retrouver pour pouvoir les chercher ».

Mark Twain ; « On pourrait citer de nombreux exemples de dépenses inutiles : les murs des cimetières. Ceux qui sont dedans ne peuvent pas en sortir et ceux qui sont à l’extérieur ne veulent pas y entrer ».

Alphonse Allais : « Il faut prendre l’argent là où il se trouve : c'est-à-dire chez les pauvres.

Bon d’accord, ils n’ont pas beaucoup d’argent, mais il y a beaucoup de pauvres ».

Woody Allen : « La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible ».

Alphonse Allais : « Il est toujours avantageux de porter un titre nobiliaire. Être de « quelque chose », ça pose un homme, comme être de « garenne » ça pose un lapin ».

- « Le comble de l’économie, c’est de coucher sur la paille qu’on voit dans l’œil de son voisin et de se chauffer avec la poutre qu’on a dans le sien ».

Albert Einstein : « Il y a deux choses d’infini au monde : l’univers et la bêtise humaine. Mais pour l’univers, je n’en suis pas très sûr ».

Georges Clemenceau : « Un traître est un homme politique qui quitte son parti pour s’inscrire à un autre, par contre un converti est un homme politique qui quitte son parti pour s’inscrire au vôtre ».

Sacha Guitry : « La réussite pour un homme, c’est d’être parvenu à gagner plus d’argent que sa femme n’a pu en dépenser ».

Woody Allen : « Dans votre ascension professionnelle, soyez toujours très gentil pour ceux que vous dépassez en montant. Vous les retrouverez au même endroit en redescendant ».

Georges Clemenceau : « La France est un pays extrêmement fertile. On y plante des fonctionnaires, il y pousse des impôts ».

Paul Claudel : « En vieillissant on perd pas mal ses défauts, ils ne nous servent plus à rien ».

Eric Satie : Quand j’étais jeune on me disait : « vous verrez quand vous aurez cinquante ans ».

J’ai cinquante ans et je n’ai rien vu ».

Henri Troyat : « Le bac c’est comme la lessive :

On mouille… on sèche… et on repasse » !

Georges Faydeau : « L’argent ne fait pas le bonheur…C’est à se demander pourquoi les riches y tiennent tant » !

Pierre Jean Vaillard : « Un bienfait n’est jamais perdu ; c’est peut-être pour ça qu’on en trouve jamais » !

Régis Hauser : « Quand on voit ce que les pigeons ont fait sur les banc publics, il faut remercier Dieu de n’avoir pas donner d’ailes aux vaches » !

Thierry le Huron : « Je suis pour l’égalité des sexes à la condition que je prenne moi-même les mesures » !

François Cavanna : « L’homme n’est que poussière.

La femme n’est qu’aspirateur » !

Docteur Paul : « Le tiers de ce que nous mangeons suffirait à nous faire vivre. Les deux autres tiers servent à faire vivre les médecins » !

Coluche : « C’est pas difficile la politique comme métier ! Tu fais 5 ans de droit et tout le reste de travers » !

Boris Vian : « Si nos premiers parents ont péché dans le paradis terrestre, ce fut surtout une erreur de Genèse » !

Frédéric Dard : « Propos d’un alcoolique désabusé : Tout n’est pas cirrhose dans la vie ».

Ylife : « Et si Dieu nous avait trompé et qu’il était une femme ? Après tout, il a de beaux saints » !

Alex Métayer : « Il y a trois choses qu’on ne peut pas regarder en face : le soleil , la mort et le dentiste » !

Jean Aillaud : « Celui qui met le pied sur une vipère risque une mort sûre » !